Le gros oeuvre est fini alors à nous de jouer maintenant. On attaque le bureau !
Rappel pour ceux qui ne suivent pas : c’est la pièce qu’on a faite en plus, elle est dans le prolongement du garage et communique avec (ce qui sera un jour) notre nouvelle cuisine.
On s’est longtemps demandé ce qu’on allait mettre comme revêtement de sol. Je ne voulais pas de carrelage dans cette pièce, c’est trop froid à mon goût, mais j’avoue que la moquette ce n’est pas l’idéal pour une pièce de plain pied qui communique avec la terrasse par une porte fenêtre.
Donc on a décidé de mettre un plancher. Evidemment j’aurais préféré un plancher de bois franc, c’est mon côté québécois qui ressort. Mais ici c’est la France, et le bois ça coûte la peau du cul !
Alors on s’est décidé pour un plancher flottant. Et c’est pas de la tarte de le choisir ! Entre les essences de bois, les épaisseurs, les qualités de revêtements-qui-ne-marquent-pas-avec-les-talons, et les sous-couches anti-moisissures et anti-bruit et j’en passe…. bref, y’a de quoi se prendre la tête avant de se décider.
Mais dans tous les cas il y a bien une chose à faire avant : le réagréage du sol.
La dalle de béton était pleine de stries, de bosses et de creux, mais le maçon devait faire le réagréage. Ca devait être lisse. Tu parles ! Son réagréage fait, la dalle était encore marquée de stries et n’était pas plane du tout.
L’Homme a piqué son coup de sang, il a embarqué Papy Jean-Marc chez Leroy Merlin. Ils ont dévalisé le rayon de réagréage et 25 sacs plus tard et quelques coups de raclette, ils en avaient plein les bras, mais le sol était enfin lisse.
Mais on ne posera pas le plancher tout de suite. Pour une fois on va essayer de faire les choses dans l’ordre en commençant par nous occuper du plafond et des murs. C’est qu’il faut tout sabler et tout peindre maintenant.