Nous voilà donc les heureux propriétaires (enfin nous et la banque surtout !) de 14 panneaux photovoltaïques Eurener 210Wc de type microcristallin et d’un ondulateur Sputnik (ça ne s’invente pas un truc pareil hein ?)
Nous voilà donc producteur d’électricité pour EDF. Enfin n’allons pas trop vite en besogne, on n’a encore rien signé avec EDF. Et oui toute l’électricité que ces panneaux vont produire va être intégralement vendue à EDF avec un contrat de rachat obligatoire valable 20ans.
On ne va pas se servir de l’électricité qu’on va produire pour notre propre consommation car cela coûte moins cher d’utiliser l’électricité d’EDF. On y gagne plus à tout leur revendre. 0,11€ du KWh à l’achat versus 0,60€ du KWh à la revente.
Maintenant faudrait juste signer le contrat avec eux.
En attendant ça nous a coûté (encore une fois !) 600€ de raccordement par ERDF.
Côté administratif, Panosol s’est occupé de tout pour fournir les plans de masse et compagnie au service de l’urbanisme de la mairie.
Et là on a eu la surprise de recevoir un courrier retour de la mairie nous informant qu’ils ne pouvaient pas nous délivrer une autorisation de travaux pour la pose de panneaux photovoltaïques (non ce n’est pas une blague !) parce qu’on avait déjà un numéro de permis de construire d’ouvert.
Et alors ?
Ce n’est pas du tout le même projet. Ca ne touche même pas la même partie de la maison. C’est quoi le problème cette fois ?
On se disait bien aussi que ça se passait trop bien cette histoire. Manquait une couille dans le paté. Bah la voilà !
Bref, on réussi à démêler tout ça avec l’urbanisme et Panosol s’occupe de corriger la demande leur adressant une « modification à notre permis de construire ». Résultat des courses : la mairie accepte le projet (bah de toute façon, sont posés maintenant les panneaux) et nous renvoie une toute nouvelle paperasse de déclaration d’ouverture de chantier à compléter en 3 exemplaires et patati et patata…
Euh… j’ai comme une impression de déjà vu là.