Archive for Cuisine / Salle à manger

Comptoir de cuisine éclairé aux leds

Le coffrage du comptoir de la cuisine est donc tout beau, tout bien peint en rose framboise, mais voilà, je trouve que décidément il manque une petite touche d’originalité, un petit plus déco qui fera la différence.
J’avais dit à l’Homme que ça pourrait être chouette d’avoir une bande de petites lumières aux leds cachée dans le haut du plateau du comptoir pour faire un effet de lumière rose. Et on avait justement trouvé un rouleau de lumières leds pas cher chez Leroy Merlin…. rouleau qui a dormi dans le garage quelques longs mois, avant que l’Homme ne décide de s’attaquer au projet coffrage.

Mais mon cher Homme a tout bien prévu comme il faut : une prise électrique cachée à l’intérieur, des connecteurs et le tour est joué, voilà un comptoir tout chouettement éclairé.

Donc voilà le comptoir dans sa version finale, avec son effet « pink lights ».
Et le premier qui me dit que ça lui rappelle un club échangiste, je lui tords le cou !

Eclairage leds

Eclairage comptoir

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Coffrage comptoir cuisine – Etape 2

L’Homme a fini le coffrage du comptoir en placo, il faut maintenant le peindre.
On a décidé d’utiliser la même couleur de peinture framboise-cassis que les murs de la cuisine.
En toute logique, qu’est ce que je fais ? Je retrouve ma facture du Comptoir de la Seigneurie Gauthier, où est indiqué le code de la couleur et le prix que j’avais payé il y a 2 ans et je retourne au même magasin.

Le vendeur prend ma facture, pianote sur son ordi, puis sur un autre, puis sur celui qui programme les codes couleurs et revient me voir pour me dire :
_ Cette couleur de peinture n’existe pas.
_ Hein ??? Elle est bien bonne. Celle-là on ne me l’avait pas faite encore.
_ Le code couleur ne doit pas être bon. Il ne correspond à rien dans nos référentiels couleurs. Je ne peux pas la reproduire si je n’ai pas le bon code.
_ Le code est bon j’en suis sûre. Avant quand je venais commander une couleur sur un autre nuancier que le votre, vous faisiez une demande à votre « centre chromatique » pour avoir la conversion du code couleur vous permettant de reproduire la teinte.
_ On a changé de système. On ne peut plus faire ça. Il faut que vous trouviez la couleur qui se rapproche le plus à partir de notre nuancier.
_ Vous me prêtez votre nuancier pour que je regarde avec les murs de ma cuisine alors ?
_ Ah non, on ne prête pas les nuanciers de couleurs.
_ ??? Et on fait comment alors ? Je reviens avec un mur de ma cuisine ???

Évidemment, il m’a prêté son nuancier (pas le choix).
Dans le doute du code de la couleur, j’appelle Guillaume (c’est lui qui m’avait prêté le nuancier Dulux Valentine d’où j’avais sorti ma couleur framboise-cassis). Il vérifie de son côté et le code est bien le bon.
Donc je suis bien coincée avec une référence de couleur qui n’existe plus !

Moi, de mon côté du téléphone, je plaque le nuancier de la Seigneurie Gauthier sur mes murs pour trouver la teinte la plus approchante. Et Guillaume, de son côté du téléphone, compare aussi les couleurs sur les 2 nuanciers, celui de Dulux et celui de Gauthier qu’il vient justement d’acheter. On tombe d’accord sur la même teinte. Merci Guillaume !

Au final, il y a un ton de différence entre la couleur framboise des murs et la celle du comptoir, mais franchement, ça ne se voit pas. Reste à mettre une belle plinthe blanche et ce comptoir sera parfaitement intégré au décor de la cuisine et de la salle à manger.

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Coffrage comptoir cuisine – Etape 1

Retour en cuisine.
La cuisine est finie depuis 2009… sauf pour un détail… un gros détail : le comptoir n’est pas vraiment fini.
Enfin, il s’agit du coffrage de l’arrière des meubles qui forment le comptoir qui sépare la cuisine de la salle à manger.

Donc côté salle à manger, on voit l’arrière brut des meubles du comptoir de la cuisine et surtout les arrivées d’eau qui sont prises dans la dalle de béton au sol.
Donc il faut faire un coffrage pour cacher tout ça. Oui, mais vous pensez bien que je ne vais pas me contenter d’un coffrage tout bête. C’est mal me connaître. Je veux un coffrage qui fasse un peu plus travaillé, voire carrément plus flyé.

J’ai donc parlé de ma petite idée à mon-cher-et-tendre :
_ Mon chéri, j’aimerais qu’on fasse un coffrage qu’on peindrait de la même couleur framboise que les murs, qu’on mette de la plinthe blanche pour finir en bas, histoire que ça ait l’air parfaitement intégré à l’ensemble de la pièce et qu’on colle une bande de leds de lumière rose en retrait du débord pour faire chic.

Le « on » écoute attentivement, mais ne dit rien.

**** Silence radio ****
(Aïe, je ne sais pas quoi en penser, mais je sens bien qu’il ne vaut mieux pas que je la ramène davantage)
L’Homme réfléchit…
réfléchit encore…
et des mois plus tard réfléchit toujours…

Je connais suffisamment mon Homme pour savoir qu’il a parfois besoin de temps pour laisser mûrir un projet dans sa tête. Faut faire preuve de patience.

Et un jour, on va chez Leroy Merlin, on fait un tour dans les éclairages et on voit un kit complet pour installer une guirlande de leds roses avec les connecteurs et tout le tralala nécessaire, pour un super prix, genre 50€ le kit avec les 3m de lumière.
Alors là, c’est l’occasion de rappeler le projet aux bons souvenirs de l’Homme, parce que je ne vais pas laisser passer cette boîte à ce prix là.
Je lui colle la boîte dans les mains.
_ Regarde, mon Chéri, c’est exactement ce qu’il nous faut pour le coffrage du comptoir de la cuisine qu’on va faire.
_ « On » n’a encore rien décidé de faire !
_ Ah bon ? Bah c’est bien long cette cogitation sur le projet.
(Houlala, qu’est ce que je n’ai pas dit là)

_ Bah oui, mais tu ne penses à rien toi ! Tu crois que ça se fait en claquant des doigts ta petite idée ?
Moi je vois qu’il faut que je fixe des rails pour le placo du coffrage et donc que je perce le carrelage, mais qu’en dessous le carrelage il y a des tuyaux pour la flotte, et qu’on aurait l’air bien con de les percer, et qu’en plus tu veux de la lumière là où je n’ai pas de prise électrique pour brancher ta foutue guirlande, donc qu’il faut que j’amène l’électricité à l’intérieur du coffrage….
_ Bah, heu…, pis aussi…  , voilà quoi.
_ C’est bon, arrête. « ON » va le faire. Tu fais chier avec tes idées déco.

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Déco lettres en bois

Petit retour sur une idée déco pour la cuisine.
Au-dessus de l’évier, on a placé des meubles en caisson, plutôt que des placards. D’abord ça casse la linéarité visuellement, et ça donne un style plus léger à l’ensemble. Et l’idée était aussi de meubler cet espace sans se prendre la tête dans un meuble en faisant la vaisselle.

L’Homme en a profité pour installé un jeu d’éclairage sympa avec des néons. Un néon en bas, caché par un bandeau de finition bien sûr, pour éclairer l’évier ; mais aussi un néon en haut pour donner plus de peps au mur peint en couleur framboise. Et c’est vrai que l’effet d’éclairage dessus-dessous est très sympa.

Pour aller plus loin on a utilisé le haut des caissons pour installer une déco avec des lettres en bois (en MDF, en fait).
Et là, tout est permis ! Libre cours à l’imagination pour choisir ses mots.
La « déco mots » est très tendance. On trouve des lettres en bois ou en carton dans tous les magasins de rénovation-décoration. On les trouve dans différentes tailles, mais jamais très grandes, et toujours dans les 2 ou 3 polices de caractères les plus basiques.
Pour trouver quelque chose de plus personnalisable, il faut un peu chercher.

Mais j’ai trouvé…
Sur le site de Crazy Wood (http://www.crazywood.net/). Génial !
Là, il y a de quoi faire pour personnifier sa déco en lettres.
On peut choisir la police de caractère, la taille des lettres et même leur épaisseur. Et franchement en MDF, ce n’est pas la ruine.
J’ai écrit « HAPPY DAYS » avec des lettres de 13cm pour à peine 30€, frais de port inclus.

Bien sûr on reçoit les lettres en MDF « brute de pomme ». Après il faut les peindre. Un coup d’apprêt au pinceau, un coup de peinture en bombe (gris métal) et voilà le tour est joué.
Comme ce n’est pas une déco en lettres à coller sur un mur, mais à poser « sur pied », il fallait choisir une typo qui ait suffisamment d’empattement pour les fixer à la glue sur le meuble.
On est ravi de l’effet. Ca nous ressemble vraiment.

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Quand je veux des plinthes… je veux des plinthes !

Quand on a commencé les rénovations de la maison on avait posé des plinthes blanches avec une moulure toute simple pour bien finir les murs.
Ces plinthes là on les trouvait partout.
Mais ça, c’était il y 3 ans…

Cette année, quand on a voulu racheter les mêmes, pour continuer dans le même esprit, on ne les trouvait plus nulle part. Aïe.
On trouve bien des plinthes blanches, mais petites et sans moulure.
On trouve aussi des plinthes avec moulure, mais cette fois-ci « à peindre », et pas de la bonne hauteur ou pas avec la même moulure.

Ras le bol de faire les magasins, je finis par aller voir le gars de service au rayon menuiserie de Leroy Merlin et je lui explique qu’il y a 3 ans on a acheté des plinthes d’un certain modèle dans ce même magasin.
_ Est-ce qu’on peut en commander d’autres ?
_ Houlà ! Y’a 3 ans vous dites ? Bah on ne les fait plus ! Le produit est déréférencé. Mais on a presque le même modèle, en 70mm et à peindre.
_ Ah oui, mais non alors. Parce que je les veux en 10mm et déjà blanches. Je ne vais pas me peindre 40 plinthes de 2m, vous imaginez un peu le chantier ?
_ Je comprends, mais non, on ne peut pas les commander. Les goûts des gens changent et la mode maintenant ce sont les petites plinthes façon bois de la même essence que votre plancher.
_ Oui, mais moi je n’ai pas posé un plancher, mais du carrelage.  Et les plinthes ce n’est quand même pas ce qui se change le plus souvent dans une maison, alors « la mode »… Bref. Pouvez-vous me donner les coordonnées du fabricant qui faisait les plinthes qui m’intéresse, et je verrai avec lui où je peux les trouver, ou même les lui commander directement ?
_ Ah, mais je ne peux pas vous donner les coordonnées d’un fournisseur. C’est confidentiel.
_ Oui mais si j’ai bien compris, il ne vous fournit plus le produit que je veux. Et vous venez de me dire que vous ne pouvez pas le commander. Alors où est le problème ?
(Il réfléchit)
_ Bon d’accord.

Je repars avec les coordonnées d’un fournisseur en menuiserie.
Je regarde son site web : aucun signe de mes plinthes.
Je l’appelle, lui explique et il me répond :
_ Non ce produit là, c’est pas nous.
_ Grrrr…
J’adore perdre mon temps !

Entre temps l’Homme réussit à dégoter du fond du cabanon une chute de plinthe avec l’étiquette code-barre de Leroy Merlin. Yes !
J’appelle Leroy Merlin, je tombe sur la nana de l’accueil et je lui dis que je voudrais le nom du fournisseur du produit codé XXXX et que c’est d’accord avec le gars de la menuiserie pour me le communiquer.
Surtout qu’elle ne me le passa pas, je ne voudrais pas me faire avoir une deuxième fois.
Pas de problème, elle me file le nom de la société fournisseur.
Que ça peut être simple des fois !

Je check leur site web et BINGO ! nos plinthes sont là !
Je les appelle et leur demande si je peux leur passer commande d’une quarantaine de plinthes.
_ Non, faut passer commande avec Leroy Merlin.
_ Mais ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas le commander.
_ Comment ça ils ne peuvent pas ?!
_ Le produit est déréférencé.
_ Et bien pour 40 plinthes ils peuvent bien le re-référencer. Vous leur donnez la référence du produit et vous leur dites qu’ils nous le passent en code 42 et vous aurez vos plinthes dans 15 jours.

Et bien voilà une bonne nouvelle ! Des mois et des mois qu’on cherche ces foutues plinthes.
Je retourne chez Leroy Merlin avec mon bout de plinthe à code barre.
Je me pointe devant le gars de la menuiserie (coucou c’est encore moi) :
_ Je voudrais commander 40 plinthes du code XXXX. C’est auprès de tel fournisseur (et pas tel autre) et c’est à passer en code 42. Vous voyez qu’on va y arriver ! Comme quoi il suffit d’être un peu tenace 🙂

Le gars tire un peu la tronche. Ca n’a pas l’air de lui plaire que j’ai « forcé » le système et que je lui impose ma commande. Pourtant il devrait être content il me semble : non seulement je passe une grosse commande, mais en plus je lui mâche tout le boulot !

Elles sont belles ces plinthes, en blanc. Moi je trouve que c’est classique, sobre et indémodable justement.

Allez, petite photo flash back histoire de se rappeler de là où est parti dans ce couloir.
On en a fait du chemin en rénovation mine de rien !

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Tablette snack

Pour la séparation cuisine-salle-à-manger, on s’est décidé pour une tablette snack posée en débord sur le grand plan de travail. C’est vrai que c’est très sympa. Je peux faire la popote dans ma cuisine et avoir mes amis « au bar ». Ca donne un côté très convivial.
Donc, bien sûr, côté salle-à-manger il nous fallait des tabourets de bar. On les a trouvé chez Leroy Merlin : 30€ le pied, 20€ l’assise, (donc 100€ de tabourets au total) dans une couleur qu’ils disent « capuccino » et qui matchent parfaitement avec la couleur taupe-Nesquik d’un des murs de cette pièce. Le bol !

Pour l’habillage des meubles de cuisine donnant sur la salle à manger, comme vous voyez, ça n’est pas fini.

Les tuyaux rouge et bleu par terre ?
Heu, oui c’est normal.
Il faut se rappeler que la cuisine est faite dans l’ancien garage (see picture to remember) et qu’à cet emplacement on avait le cumulus. Les arrivées d’eau sont coulées dans la dalle ici, et il a fallu les garder là.

Mais on a prévu de faire un bel habillage de l’arrière des meubles de cuisine. J’ai ma petite idée là-dessus.
On a fait largement déborder le plan de travail de ce côté là en vu du projet.
L’Homme va faire un caisson pour cacher les tuyaux et j’aimerais qu’on habille le caisson en pierres de parement couleur crème. Il me semble que ça serait pas mal et que ça ne craindrait pas les coups de pieds au moins.

A voir… ce n’est pas vraiment une priorité dans tout ce qu’on a à faire pour le moment.

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Montage de la cuisine (Suite)

L’Homme a posé tous les éléments bas, mais les éléments haut posent plus de problème.
Pour rattraper l’équerrage des murs, le voilà en train de faire des cales derrières les meubles. Heureusement qu’on visse dans des murs en parpaings.
Nous voilà aussi en train de modifier nos plans de cuisine à la dernière minute pour trouver des solutions pour les espaces qui nous posent problème.
Finalement on enlève un placard trop large, qui avance trop sur l’espace plaque de cuisson et on achète un range-bouteilles pour mettre à la place. 
On se décide aussi à meubler l’espace au-dessus de notre évier par deux caissons horizontaux pour avoir du dégagement et on mettra une déco sympa de ce côté là (qui viendra plus tard, vous verrez bien).

Nous avons commandé le plan de travail chez JPM Sagne.
Vu les mesures à la noix qu’on a (et les exigences de Madame), on n’avait pas le choix de commander le plan chez un cuisiniste et de le faire poser par un pro.
Le plan de travail est ce qui nous aura coûté le plus cher dans cette cuisine.

Plan de travail + evier et robinetterie Franke = 1700€
Faut dire qu’il y a de la longueur. Le plan principal fait 3m !
Pose du plan de travail = 300€ la journée

Super, le pro de la pose au passage. Pour ceux qui cherche une bonne référence d’ébéniste sur Toulouse, je peux filer les coordonnées. En une journée il a fait toutes les découpes, la pose, l’encastrement de la plaque de cuisson et de l’évier aussi. Ca ne paraît pas comme ça, mais il y en a eu pour 10h de boulot sans chomer. Nickel !

Reste plus qu’à mettre les bandeaux de finition en dessous des meubles haut, les néons pour éclairer le comptoir et les spots à encastrer au plafond.

Pour les spots, on prend les mesures et on marque les emplacements avec des post-it. Après ça l’Homme prend son détecteur de poutres et là on se rend compte qu’on a soit des poutres en bois, soit des poutres métalliques qui passent sur nos emplacements. What a surprise ! Fallait bien que ça coince quelque part ça aussi.
Bref, c’est pas gagné pour l’éclairage du plafond.

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Montage de notre cuisine Ikea : mais quelle galère !

Ikea est réputé pour être « facile à monter soi-même ». Et c’est vrai.
Les meubles Ikea sont faciles à monter. Oui, mais ce n’est pas parce qu’on réussit à monter les meubles, qu’on ne galère pas à installer sa cuisine.
Et là je ne peux rien reprocher à Ikea, parce que ce n’est pas de leur faute si nos murs ne sont pas d’équerre et si nos mesures ne correspondent pas pile poil aux dimensions des meubles.

Dans quoi est-ce qu’on s’est encore embarqué là ? 
Dans une cuisine en U qui est une p#@!=|# de galère !

Pour installer les meubles bas, pas de problème. Les murs ne sont pas d’équerre, mais on n’a pas non plus besoin de coller aux murs. On a juste besoin de refaire un nouvel équerrage avec les meubles justement. Ca nous fait un peu de dégagement à l’arrière entre les meubles et les murs, mais  le plan de travail viendra couvrir le tout et il n’y paraîtra plus. Ca paraît simple hein ?

Oui, mais pour les meubles du haut ?
On ne peut pas « tricher » de la même façon. Et là on coince pas mal.

Et pour former le U ? On a des meubles d’angle oui bien sûr, mais pour meubler entre les deux angles ? Les meubles ne s’ajustent pas à nos dimensions, ça serait trop beau. Alors il faut jouer avec des fileurs entre les meubles. Oui mais là encore ce n’est pas gagné pour tomber au millimètre près.

Sur le net on a trouvé une démo de montage de cuisine Ikea :
http://www.dailymotion.com/video/x9t1pw_montage-cuisine-ikea_lifestyle
et l’Homme a bien rigolé :
_ Ah bah oui, facile la cuisine ! Un seul mur, aucun angle, et un îlot central. Fastoche la démo : aucune contrainte pour corser le projet.

Heureusement que le poseur pour notre plan de travail est aussi un pro des cuisines Ikea. Je pense qu’on va lui demander de nous sortir de cette galère… en attendant on est dans le bazard jusqu’au cou.

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Plan de travail de cuisine : dilemne

Chez JPM Cuisines à Plaisance du Touch, on a trouvé deux décors de plan de travail en bois stratifié qui nous plaisent bien. Mais comme l’ambiance du magasin n’a rien à voir avec notre ambiance de cuisine, JPM nous a prêté les deux échantillons pour qu’on les regarde chez nous, avec nos couleurs.

On a :
– un échantillon « pommier » avec des grandes nervures de bois, très clair, un peu rosé même.
– un échantillon « bambou » façon petites stries, clair mais plus marron que le pommier.

Mais bon, ce n’est quand même pas évident de se décider vu nos conditions d’installation : on n’a pas encore mis d’éclairage au plafond et les façades des placards ne sont pas encore montées (l’Homme veut attendre le dernier moment pour les monter pour ne pas prendre le risque des les abimer).

Donc on improvise un peu la mise en scène pour essayer de se faire une idée.
Voici les paramètres de l’ambiance : nos murs sont framboise-cassis, nos façades sont en blanc cassé (modèle de cuisine Ikea STAT) et nous avons des éléments en inox (stainless steel).

Bon alors lequel on prend ???

Moi j’aime beaucoup les deux, mais j’ai une préférence pour le bambou que je trouve plus « jeune ». Le pommier est super beau, mais je le trouve plus « traditionnel ». L’Homme, lui, a une nette préférence pour le pommier. Et comme on n’arrive pas à se décider, ou plutôt qu’il n’arrive pas à me convaincre, il me propose qu’on fasse voter notre famille et nos amis.
Pourquoi pas.
Et nous voilà en train d’envoyer les 2 photos à tout notre carnet d’adresses.
Au passage merci pour votre massive participation à tous. On a même eu des votes inattendus : des collègues de bureau de nos amis, des belles-mères de passage en vacance, des voisins curieux…

Ce drôle de sondage nous a en tout cas révélé une tendance : les français préfèrent le pommier, les québécois préfèrent le bambou. C’est assez net sur le total des réponses, et il y en a eu beaucoup ! C’est drôle non ?
Et étonnamment le score est très serré.

Du coup l’Homme s’est dit qu’il faudrait pondérer certains votes.
_ Je sais que l’avis de ta mère compte beaucoup pour toi, et je comprends c’est normal. Alors je te propose que le vote de ta mère compte X10.
_ Non mais quel hypocrite !
Ma mère a voté pommier, et moi je préfère bambou !
_ Oui je sais, c’est pour ça que je vais te laisser le temps de prendre toute la mesure de ce vote décisif.

Non mais si c’est pas culotté ça hein ! Se servir de sa belle-mère comme ça !
T’en fais pas mon chéri, je m’en souviendrai…

On a choisi « Pommier ».

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Plan de travail de cuisine : début d’une galère

Les meubles bas de notre cuisine sont installés (enfin c’est ce qu’on croyait).
Il faut maintenant qu’on magasine pour notre plan de travail.
Au moins on était d’accord sur le style : plan de travail en stratifié façon bois clair.
De prime abord ça ne semble pas compliqué hein ?

Premier réflexe, on va voir chez Ikea. Mais non, rien qui nous plaise. On trouve que c’est très ordinaire, passe partout, déjà vu. Et là, comme vous allez tous me tomber dessus, j’en profite au passage pour nous excuser auprès de tous nos amis (et de toute la planète) qui ont un plan de travail Ikea. Chacun ces goûts. Nous, les plans de travail Ikea ne nous conviennent pas.
On est allé voir chez Leroy Merlin : idem, déception totale.
Ces deux grandes enseignes vendent des cuisines à tour de bras alors qu’elles ont un catalogue super restreint de choix de plans de travail ? Je ne comprends pas comment c’est possible.

Ok je reconnais qu’on arrive avec une demande un peu compliquée (on ne dirait pas comme ça, mais vous allez voir) et que je suis une emmerdeuse de taille, intransigeante sur les détails. Mais tout de même !

Alors voilà pourquoi notre recherche est un peu compliquée.
D’abord on a une cuisine en U avec des murs pas super d’équerre.
Donc, entre nos mesures pour les longueurs et les largeurs des pans et les « vides » à combler pour rectifier les angles, et bien d’office on tombe sur les pans « sur mesure ». Aucune dimension standard.
Et là ça douille !

En ce qui concerne les raccords entre les pans, pas question de mettre des baguettes de finition pour faire la jointure. C’est moche comme tout !
Non mais franchement visez la photo, c’est moche.  Question budget, c’est avantageux, mais question look…
Donc il nous faut des pans sur mesure et en plus il nous faut un poseur professionnel.

Bon et bien on n’a plus qu’à aller voir un vrai cuisiniste et à se faire peur avec un devis.
On est allé voir JPM Sagne à Plaisance du Touch. Ils ont un choix considérable de matières pour les plans de travail et on a tout de suite trouvé 2 décors dans nos goûts pour un plan en stratifié.
On est arrivé avec nos mesures « en gros », ils nous ont tout de suite fait un devis « en gros » aussi. Ils nous ont prêté les 2 échantillons de décor pour qu’on les voit chez nous avec nos couleurs, et nous ont aussi donné des coordonnées de poseurs pour qu’on ait des cotes exactes à commander. Franchement, bon accueil et bon service chez JPM.

Reste plus qu’à se décider sur le décor, qu’à prendre rendez-vous avec un poseur, qu’à se faire mesurer les cotes exactes, qu’à recevoir le devis pour la pose, qu’à se faire refaire le devis exact pour la commande des pans, et qu’à gagner au loto entre temps.

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